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Le Tourmalet
Une balade signée RV Organizécheune

RV Organizécheune à encore frappé... Et un grand coup cette fois. Mine de rien, voilà la bombe déposé dans le forum par le grand barbu :

BALADE AU TOURMALET
 
le Dimanche 6 Juillet 2003!!! Départ du Champion Tournefeuille vers 9h00 (on attendra un peu... mais c'est pas trop tôt, hein ? ) (Appelez moi si on doit vous attendre !!)
 
Avec piquenique individuel (repas et boisson) amené par chacun, Trajet passionnant via Rieumes, Ciadoux, Lannemezan (essence libre ), Bagneres, La Mongie, le Tourmalet, Luz st sauveur, Neuilh, Masseube, etc... belles routes du gers et de la montagne...
 
Petite BDD si le coeur vous en dit !!
Et si question, à votre disposition !!!

Et voilà. Le sujet à atteint les 8 pages, et la balade a été, heu, vraiment, hé bien... Bon, je laisse parler Bilou.

Prologue :

ça fait déjà plusieurs semaines qu'RV a lancé le programme, et il a mis du temps du talent et du coeur à nous préparer un road aux p'tits oignons, au point de faire deux si ce n'est trois reco préliminaires. Autant dire que c'est le genre de balade à laquelle on peut venir les yeux fermés... enfin, façon de parler : si le road tient ses promesses, c'est les yeux grands ouverts qu'il faudra profiter des somptueux paysages et des magnifiques routes qui nous attendent.
Jour J enfin arrivé, le réveil est fébrile, comme tous les matins de balade. Debout aux aurores, déjà tout équipé et prêt à partir une bonne heure trop tôt... Victimes de baladite aiguë, nombreux sont ces motards enthousiastes et impatients qui tournent en rond chez eux, déjà tout équipé, en regardant l'heure qui n'avance pas, et en répétant inlassablement "ça va être une super journéeeeeeheuuu ". Je fais partie de ceux-là...

Chapitre I : Rendez-vous

On n'y croyait plus mais l'heure de partir arrive enfin. La moto démarre au quart de tour, et manifeste par quelques broap broap son envie de se dégourdir les bielles après une semaine de trajet boulot/dodo, comme si elle avait deviné que je l'emmenais en balade (d'ailleurs, c'est moi qui l'emmène ou c'est elle qui m'emmène en balade ?). Je m'arrête à la station essence juste avant le point de rendez-vous. Simon et Lali y sont aussi, pendant qu'on fait le plein, on voit passer une deux trois quatre motos... et ça défile et ça n'en finit pas. J'en reconnais certains (Franckounet sur le Z, le GSE jaune de Cel et Bio...), et d'autres passent que je n'ai jamais vus, mais je suis néanmoins sûr d'une chose : ils vont tous au même endroit, le Champion de Tournefeuille. C'est là qu'RV nous a donné rendez-vous pour le départ d'une balade dominicale comme il sait si bien les faire.

Incroyable, une pléthore de bécanes est garée en vrac sur le parking, conducteurs et passagers discutent au milieu de ce joyeux foutoir. Je me faufile et gare Daisy sur une petite place libre, et passe un peu partout pour saluer tout le monde. Des têtes connues, grands sourires, on sent l'impatience de rouler chez certains (ha ? toi aussi tu as la baladite aiguë ? t'es mon coooooopain !), et des nouveaux, beaucoup de nouveaux... les prénoms/pseudos se mélangent et au bout de deux minutes, j'ai déjà tout oublié (ha bin bravo !). RV distribue des copies du road-book à chacun, place quelques consignes individuelles et une fois tout le monde présent, prend finalement la parole devant un auditoire de 40 motards attentifs pour les consignes du jour et quelques précisions utiles sur le road.

On démarre. Un long serpent de plus de trente bécanes se déroule en sortie du parking et on se dirige tranquillou vers l'ouest, direction St-Lys.
Arrivé en centre ville de St-lys, RV ralentit, et va pour faire le tour de la halle... on ne comprend pas trop ce qu'il veut faire, mais on le suit quand même. On fait presque un tour complet avant de stopper en vrac au milieu de la route. RV descend de bécane et compte les présents : verdict sans appel, il en manque. Excellent, 15 bornes de ligne droite et on a déjà perdu une dizaine de bécanes ! On essaye de deviner qui on a bien pu perdre par déduction avec ceux présents, et on passe quelques coup de téou pour prendre des nouvelles. Messagerie, blablabla, et on arrive finalement à entrer en contact : ils ont été ralentis, puis ils ont tourné à un carrefour, tout connement. Pas grave, on les attend à la halle de St-Lys. Petit contretemps d'une demie heure, vraiment pas de quoi en faire un drame.

Chapitre II : Première spéciale

Bon allez, c'est pas tout ça, mais on a encore 400 bornes à tirer et si on s'arrête toute les 15, on est pas rendu. Le convoi repart direction Rieumes qu'on atteint sans encombre et tous ensemble. Un petit arrêt de 3 minutes, le temps qu'RV nous indique la direction de la prochaine étape et le prochain point de rendez-vous. Les consignes sont claires : arrêt à l'entrée de Ciadoux, après une spéciale de 43 km où chacun est libre de rouler comme il le veut... en clair : "messieurs les arsouilleurs, partez devant !". Les moteurs vrombissent déjà et les premiers partent alors que je remets à peine mes gants. Hééééééé, attendez-moi !!!! merd merd merd, une minute d'inattention et ces petits mesquins en profitent pour me coller 2 bornes ! Tudjuu, ça va pas se passer comme ça. Je pars avec un second petit groupe de 5 ou 6, et on attend d'être sortis de Rieumes pour commencer à ouvrir. Quelques virolos passent, le temps de chauffer un peu la mécanique et de prendre ses marques, et le rythme s'accentue sensiblement... petit à petit, je remonte la file à la faveur de quelques lignes droites et je me retrouve derrière un hornet noir (je sais plus qui c'est... ami lecteur, si tu te reconnais, manifeste toi !) qui roule sensiblement au même rythme que moi. Un coup d'oeil éclair dans mes rétros me suffit pour reconnaître le GSX-1400 de François, qui me colle avec insistance... quelques virolos plus loin, je cherche une ouverture pour essayer de passer le Hornet, un coup d'oeil dans le rétro pour voir si François est toujours là... ha non tiens, il est devant maintenant ! 'taaaaaain, comment je me suis fais enrhumer ! ça pousse son bidule, une vraie balle !!!

Un peu plus loin, alors que Hornet noir et François baissent le rythme pour une raison inconnue, je passe devant et les perds assez vite dans mes rétros. Je trace 3 ou 4 km en solo quand je vois enfin poindre quelques virolos plus loin le fazouille de Benoît. On est à peu près à la moitié de la spéciale Rieumes-Ciadoux, au niveau du carrefour piégeux où il faut tourner à gauche... piégeux parce que situé en descente en sortie d'un virage à droite et juste après un col, laissant à peine le temps de planter un freinage de trappeur, tomber 3 rapports d'un coup, et se placer sur la voie centrale pour tourner à gauche. ça ne m'étonnerait pas qu'il y en ait qui se laissent surprendre et tirent tout droit sans même se rendre compte qu'ils se sont gourés de route, même si RV avait mis en garde tout le monde à propos de cette bifurcation avant de partir.
Je rattrape Benoît juste après le carrefour, il roule au pas et discute avec sa passagère quelques instants, je me place derrière lui, quelques coups de gaz, un signe de la main et un regard échangé dans le rétro : ça veut dire ce que ça veut dire . Je laisse Benoît ouvrir la route, mais je constate assez vite qu'il ne roule pas comme d'habitude... lui qui habituellement enroule à bon rythme, le voilà qui freine dans chaque virage, comme si il n'osait pas prendre de l'angle, pourtant la route est bonne, les courbes régulières et pas piègeuses... mais ça m'oblige à choper les freins à mon tour et ça a vite fait de m'agacer à tel point que je finis par le doubler au bout d'une ou deux minutes. Et je finis la spéciale en solo, en évitant 3 chiens fous qui traversent la route pile devant moi. Arrivé à Ciadoux, un CBR est déjà là (pfiou, il a dû bien allumer lui !), je me gare pas loin et on attend les suivants qui arrivent par petits paquets. Je me souviens de l'arrivée d'Alstar et Aware, manifestement ravis d'avoir taquiné un peu, de celle de Benzz sur son 125, fier de ne pas être le dernier, de celle de Franckounet "bah quoi, j'ai roulé tranquillou !" et de quelques autres, arborant tous une grande banane sous leux cax... faut dire que cette petite route, c'est du bonheur en barre !

Une fois la pause finie, on est rejoint par notre guest star paloise, le trop rare PapyDePau, qui pour une fois vient faire un bout de route avec nous. Après ces 40 bornes de virolos, les 8 km de ligne droite qui nous mènent à Blajan paraissent bien monotones et je me cale à 110 derrière Frog pour lui tenir compagnie alors que quelques allumés nous doublent en trombe. Défoulement de courte durée puisqu'en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, on est déjà arrivé à Blajan pour la pause café.
35 bécanes garées en vrac devant un petit troquet tenu par un gentil papy et ouvert rien que pour nous sur demande d'RV (quel brio !)... enfin, "rien que pour nous", faut le dire vite : un autre groupe de motards s'y est arrêté une demie heure plus tôt et le gentil papy les a servi en pensant que c'était nous... fatalement (C), quand on est arrivé, y'avait plus de café, mais il restait de la bière (ouf !)

Chapitre III : La trouille !

On repart direction Lannemezan. Comme c'est de la route très rectiligne, les moins rapides sont partis quelques minutes plus tôt, histoire d'arriver à peu près synchro à Lannemezan pour faire le plein des bécanes. Et la route continue...
Entre Lannemezan et Mauvezin, alors qu'on enroule une petite portion sinueuse qui coupe à travers une petite forêt, Michel se laisse surprendre par un virage à droite assez serré : le VTR est déporté à l'extérieur et il croise de très très très près la voiture qui arrivait en face. Je crois qu'on est trois à avoir eu une trouille mémorable : Michel, le gars dans sa bagnole et moi-même, à moins de 5 mètres derrière, assistant incrédule à la scène tout en me disant "oh putain !"...

Chapitre IV : La Course !

Déjà à Bagnères, on commençait à se douter de quelque chose, à voir des vélos partout... et plus on avançait, plus il y en avait. Hé oui, pas de bol, une course cycliste était organisée ce jour-là, pile sur notre road-book, avec tous les problèmes de circulation qui vont avec. Mais bon, on avait presque de la chance puisqu'ils roulaient dans le sens inverse du nôtre. N'empêche qu'ils nous ont bien brouiller l'écoute, jusqu'à Ste-Marie-de-Campan où les hommes en bleu faisaient la circulation et laissaient passer au compte goutte des bagnoles dont on remontait péniblement la file. Les moteurs commençaient à avoir bien chaud, et ils ont pu respirer un peu à partir de Ste-Marie, dans la montée du col du Tourmalet même si la circulation assez dense nous ralentissait copieusement. C'est dommage, cette montée aurait pu faire l'objet d'une seconde spéciale, au lieu de ça on l'a faite presque en file indienne sans avoir de réelle opportunité de prendre le large. Quelques uns s'arrêtent à la Mongie pour acheter à déjeuner pendant que les autres finissent la montée. Arrivés presque au col, on s'arrête sur une plate-forme idéalement agencée pour accueillir nos 35 bécanes et on s'octroie une bonne heure de pause pour le pique nique champêtre. Nous sommes rejoints par quelques nouveaux MT (des Moutons du Tourmalet ) quémandant quelques bouts de dwich de ci de là.
Pique nique terminé et clopinette fumée, le départ est donné pour la descente du col qui se passe sans encombre sur un revêtement enfin débarrassé des tartines de gravillons qu'on y avait trouvé une semaine auparavant. Le groupe s'arrête au pied du col pour une pause café, tandis que je continue tout seul pour aller voir à quoi ressemble cette petite route bien sinueuse que j'avais repéré en contrebas pendant la descente. Pas déçu de mon détour, je trouve 3 km de virages très amusants (à part une vache qui traverse en plein milieu), avec quelques lacets bien dessinés et un bitume sans défaut, à tel point que je convainc Benoît et Franckounet de m'y accompagner pour un deuxième passage. Apparemment, ça leur a plu aussi ! Une petite improvisation bien plaisante qui n'était pas sur le road-book d'RV...

La fin de la descente jusqu'à Luz-St-Sauveur est un peu plus roulante et le rythme reste sage, jusqu'à ce qu'on rejoigne le convoi de bagnoles et autres autobus qui descend de Gavarnie à Lourdes. Déception, cette route qui d'habitude est un pur bonheur à enrouler, devient un vrai calvaire sur laquelle on bataille pour remonter les files de voitures, faire des dépassements limites, et tout ça sous une chaleur accablante. Vers Argeles, RV - qui ouvrait la route - stoppe sur une pseudo aire d'arrêt au bord de la route et vérifie qu'on n'a perdu personne. Tout le monde est là, on peut repartir, après avoir été informé de notre prochain point de d'arrêt : en entrée de Lourdes, à la première station essence. Là, tout le monde (ou presque) refait le plein entre la seule pompe 24/24 disponible et une seconde station un peu plus loin, ce qui prend pas mal de temps. Avec nos autonomies, on devrait maintenant être tranquille jusqu'à Toulouse. PapyDePau nous abandonne ici pour rentrer sur Pau par des petites routes qui vont bien, et on repart direction Bagnères par une petite route qui aurait pu être sympathique si y'avait pas eu autant de bagnoles... on sent que c'est l'été, les touristes, les camping-car, tout ça. Je vais finir par préférer les balades en plein hiver, moi... ça guindoulle dans tous les sens mais au moins on est peinard...
Un peu avant Bagnères, on s'arrête de nouveau dans une station pour que certains étourdis fassent le plein qu'ils n'avaient pas fait 20 bornes plus tôt, et en attendant sur le parking, on s'aperçoit que Franckounet et Titi ne sont pas là... on apprendra par la suite qu'ils se sont arrêtés à Lourdes pour aller voir la grotte (sans déconner, les MT en plein pèlerinage mystique !)

Chapitre "entre IV et VI" : mais non, on n'est pas perdu !

Un peu avant d'arriver à Tournay, RV quitte sa place d'ouvreur et nous fait signe de passer devant lui... on passe mais j'ai quand même un petit doute : je ne crois pas l'avoir entendu donner de consigne pour cette portion de route, pas de point de rendez-vous, rien. Peut-être que je n'ai simplement pas entendu, ça m'arrive d'être un peu dissipé (en tous cas, mes profs me le disaient souvent !), alors je suis le mouvement et quand le convoie arrive dans Tournay, on a beau attendre un peu et regarder en arrière, on ne voit pas RV arriver. On décide de poursuivre notre chemin sans lui et les panneaux de signalisation nous orientent vers Trie-sur-Baïse par une petite route bien défoncée. Trop défoncée même, je commence à avoir des doutes : c'est pas dans les habitudes à RV de nous faire passer par des routes pourries, c'est qu'on a dû se gourer à partir de Tournay... On arrive quand même à Trie-sur-Baïse, un peu au compte goutte, puis on passe par Castelnau-Magnoac où je m'arrête à un rond point avec Aware et Alstar pour orienter tout le monde dans la bonne direction. Normalement, comme prévu sur le road, on doit tous se retrouver un peu plus loin à Seissan. Pendant que j'attends sur mon rond point que tout le monde soit passé, RV me passe un coup de téou pour me dire qu'il est encore à Trie-sur-Baïse, qu'il est avec un petit groupe de 3 ou 4, que c'est pas la peine de l'attendre et qu'on se retrouve tous à Lombez au café motard...
Il me faut donc rattraper le groupe qui est sur la route de Seissan, en espérant qu'il s'y soit arrêté, et le conduire ensuite jusqu'à Lombez. Je m'attendais pas à ce genre de responsabilité... d'autant que je ne connais la route qu'à moitié, mais j'ai mes cartes dans le sac alors on est sauvé ! j'ouvre en grand pour rejoindre Seissan, tout le monde s'y est arrêté et certains sont en terrasse à boire un coup. Benoît essaye de bricoler un machinou pour faire tenir la visière de son cax qui ne tient plus que par un côté, ayant perdu une vis de l'autre... pas probant, il continuera sans visière, avec juste une paire de lunettes. Un petit quart d'heure de pause et je repars devant, emmenant une bonne partie du groupe et en laissant le reste en terrasse, qui nous rattrapera plus tard.

Chapitre "je sais plus" : encore une petite spéciale...

Et on enquille une petite route bien rigolote, jusqu'à Saramon, puis la fameuse "Saramon-Lombez", bien connue des amateurs de virolos bien serrés. Benoît prend la place d'ouvreur et je me colle dans sa roue. Et contrairement à ce matin, je le vois attaquer à bon rythme. J'en déduis que sa passagère a trouvé sa place et qu'il peut rouler plus sereinement. Haaaaa, je retrouve le Benoît avec qui j'aime bien rouler : des trajectoires tendues, des angles audacieux... un vrai bonheur à suivre. Pas de circulation sur cette route, on peut enfin en profiter. En jetant un coup d'oeil en arrière, je vois François scotché dans ma roue. Hé hé hé, toujours dans les bons plans, celui-là par contre, on a perdu les autres, du moins on ne les voit plus. Et on continue comme ça jusqu'à Lombez et son café motard où nous attendent RV et son petit groupe, ainsi que la Ouille's Family venue nous rejoindre en cette fin de journée pour boire un coup.
Mais à peine arrivé, je vois RV qui s'en va. Juste le temps de lui souhaiter bonne route, lui dire merci pour le road et à bientôt... j'apprends par ceux qui restent qu'il en avait gros sur la patate après l'épisode raté de Tournay et qu'il voulait rentrer chez lui. Boaf, pas de quoi en faire un plat, quand même ???

Epilogue :

On est à 50 bornes de Toulouse, il commence à être tard, certains doivent rentrer chez eux tandis que d'autres se concertent pour savoir comment finir la journée. On est une dizaine à se décider de finir à l'hoemachin, pour boire un coup et manger un morceau. Aussitôt dit, aussitôt fait, on se donne rendez-vous là-bas, chacun roulant à son propre rythme pour y aller. Je trace la route avec Titi, on se permet quelques pointes (hé oui, ça pousse un mixer !) et on arrive enfin à l'hoemachin où on s'installe à une grande table, une bière à portée de main en attendant les autres.
Haaaa, que du bonheur... relaxation après ces 450 bornes absolument mémorables. Pour ma part, je me suis régalé, et il y en avait pour tous les goûts : des portions tranquillou, des moins tranquillou, des franchement funs, de beaux paysages, une bonne ambiance générale, plein de bons souvenirs, une bonne bière de l'amitié à l'arrivée... que demander de plus ?

"De plus", j'en sais rien... mais d'autres du même tonneau : plein ! tu vas nous en préparer d'autres, hein dis RV, des beaux road-books comme celui-là ? alleeeeeeez, dis oui, steupléééééé !

Bilou (phase ascendante de virolothérapie)

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