Twin addict
Inscrit le: 31 Mar 2004
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Ville: Toulouse
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Flash-back ...
Il y a dix ans de ça, mon permis moto tout juste en poche, mon frère me propose de monter avec ses potes et lui au Bol d'Or qui était alors au circuit Paul Ricard. Pas la moindre hésitation, même si je suis sds, l'idée me ravis. Après quatre cent bornes derrière un 750 YZF, avalés à une vitesse impressionnante (pas de radar automatique à l'époque !) me voilà sur place dans l'ambiance déjà survoltée ! Je vous passe les burns, rupteurs et autres runs sauvages ... Je regardais partout comme un gosse qui voit sa première fête foraine. Le soir venu, Noir Désir nous fit l'honneur d'un concert exceptionnel. Ducati ne gagna pas cette année ... Mais je me rappellerais toujours des dix derniers tours de course où Stéphane Chambon passa la ligne droite des stands sur la roue arrière de sa 916 ... Lors du retour, toujours sur mon petit nuage je me dis "Bon sang, se serait quand même terrible de venir avec Ma moto ! Un jour, je le ferais !"
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Pas mal de temps a passé … Et après avoir fait connaissance avec un groupe bien sympathique de motards (les Mt !), le projet de monter aux 24 heures du Mans s’est précisé peu à peu … Ma première course d’endurance ne sera donc pas le Bol mais le Mans, pas de regrets puisque maintenant le Bol ne se fait plus dans le sud mais au circuit Magny-Cours.
Je connais un peu les intéressés par cette virée, le courant passe plutôt bien, ça devrait être sympa !
On choisit de prendre la nationale, le départ sera à Toulouse vers 7 heures du mat’ pour Feufolet, Nonce et moi … On récupèrera Philou à Montauban et gaz vers le Mans …
A 23 heures la veille du départ, des trombes d’eau déferlent sur Toulouse après une journée plutôt correcte … le lendemain risque fort d’être humide ! Je piaffe d’impatience toute la soirée, même si tout est prêt et vérifié !
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A 6 heures le jour J, le réveil sonne … Après avoir ouvert les volets, je constate qu’il pleut toujours ! Bon, c’est pas grave on s’y attendait … Le S4 chargé, j’enfile ma combinaison de pluie et après avoir embrassé ma chère et tendre qui dans un demi sommeil me refait les recommandations d’usage, je prends la route de Géant Fenouillet en essayant de ne pas réveiller tout le voisinage en démarrant la Ducat à 6 heures 30 !
Arrivé au point de rendez-vous, premier constat : «Tiens, c’est moi le preums !» C’est pas grave, je vais en profiter pour faire le plein. Mon bigo sonne, c’est Feuf : «Désolé, on est à la bourre, on sera là dans 10 minutes …» Pas de problème, je serre ma bécane à proximité des pompes sous un crachin qui perdure.
Au bout de 5 minutes, une bécane arrive dans ma direction … Un 750 gex tout harnaché … Le gars descends de sa monture et me salut, et ne le reconnaissant absolument pas je lui sors «Salut, t’es qui toi ?» Après explication, il s’agit de jackflash (Hervé) qui s’est inscrit deux jours plut tôt pour se joindre à la meute … Et comme j’étais en congés et que j’ai pas le net à ma maison, ben je pouvais pas savoir ! On fait connaissance, et sur ce Feuf et Nonce arrivent. Le temps qu’ils fassent le plein, on admire le nouveau jouet de Nonce.
Enfin on quitte Toulouse, il est 7 heures 30 passé …
La N20 est embouteillée par un trafic très dense : les poids lourds et les camionnettes en grand nombre nous ralentissent du fait de la visibilité réduite par la pluie.
Arrivée chez Philou vers 9 heure … Sortie de Montauban un quart d’heure plus tard. La route est un peu plus dégagée, mais encore bien humide …
Nous avons toujours les équipements de pluie sur nous, et grand bien nous a pris car se succèdent pluie, crachin, brouillard et même grêle lors d’un arrêt ravitaillement à Tiers ! Quelques moments de répit nous permettent d’ouvrir un peu dès que la route devient sèche, et les enchaînements de virolos nous donnent l’occasion de prendre un peu d’angle … Et la joyeuse troupe emmenée par Philou progresse vers le Nord.
Lors du passage à Souillac, Philou suivi de votre serviteur et de Feuf croient avoir perdu jackflash et Nonce. Précisons que le trio de tête envoyait du petit bois, et n’a pas regardé en arrière depuis un moment … Nonce qui a terminé son rodage depuis peu fermait la route, et jackflash en se baladant faisait claquer une soupape de temps en temps …
Nous nous arrêtons donc afin de nous regrouper pour prendre un kawa, et face aux minutes qui passent nous décidons de leur passer un coup de téoula … Et quelle ne fut pas notre surprise d’apprendre que jackflash est tombé en rade d’essence et que Nonce n’a eu d’autre recours que d’aller lui chercher un peu d’essence dans une gourgasse afin de lui permettre de rejoindre la station la plus proche ! Une fois l’info transmise, nous nous attablons à la terrasse d’un troquet et usons de toute notre imagination pour les accueillir avec tout le chambrage et le cassage qui leur était du … Jackflash, grand prince nous offre le breuvage tandis que Feuf a dégoté une pâtisserie aux viennoiseries fameuses.
Lors d’un ravitaillement non loin de Poitiers, nous profitons d’un relais Calmos pour nous restaurer, et profitant d’un élan de bonne humeur, faisons connaissance avec deux motards albigeois forts sympathiques qui nous ont accompagnés durant le restant du trajet.
A une cinquantaine de kilomètres du Mans, nous rencontrons des troupeaux de motards qui se rendent au même endroit que nous … Le roulage devient un peu moins décontracté, à cause du fait que beaucoup de nos congénères casqués considèrent que la route leur appartient …
Nous arrivons en vue du circuit aux alentours de 18 heures, c’est maintenant que les complications commencent : Nonce et Feuf doivent retirer leur billets à l’espace média, Philou doit récupérer sac à dos et tente auprès d’un collègue qui les lui a monté en voiture.
L’accès au circuit est un bordel incroyable : embouteillage de motos sur des voies ridicules, renseignements bidons des personnels de circulation … Une ambiance de foutoir total, sur-réaliste pour une événement de cette notoriété !
Bref beaucoup de temps perdu pour trouver le fameux l’espace média, et surtout à peu près vingt bornes autour du circuit faits pour rien ! Mon témoin de réserve s’allume … Rien d’alarmant vu que le bled le plus près dispose de stations 24/24, mais il faudrait quand même éviter de faire des bornes inutilement !!
Enfin nous décidons de laisser chercher Nonce et Feuf seuls ce putain d’espace média, pendant que les autres vont entrer sur le circuit et commencer à planter les tentes ! Il est plus de 19 heures …
Re-embouteillages … La pluie commence à tomber … Vu la couleur des nuages qui arrivent, le pire est à venir ! En plus, depuis la dernière pause quelques heures plus tôt, on a tous enlevé nos fringues de pluie vu la chaleur et qu’il faisait un temps correct. Rapidement les chemins d’accès aux campings se sont transformés en bourbiers et nous sommes trempés comme des canards. Pas grave, on avance, faut trouver rapidement un endroit pour planter parce que maintenant c’est le déluge … Premier camping, pas une place … Ou plutôt si, il y aurait de la place mais dans un soucis de confort, la plupart des groupes ont pris dix fois plus de place que nécessaire pour garer leurs motos proprement, installer un chapiteau pour prendre l’apéro, attendre d’éventuels potes … Et évidemment ils ont délimité leur territoire par du ruban plastique pour qu’aucun étourdi n’y pénètre par erreur ! Bon pas grave, on va voir au camping suivant …
On est trempés, glacés, les cuirs pèsent une tonne …Il me tarde vraiment de descendre de moto … La encore, même constat : de la place non utilisée par plein de groupes … On met pied à terre pour discuter, et là, marre, raz le bol, l’impression que le pétage de goupille est sur le point de se produire ! A coté de nous, une fois de plus, trois tentes pour 50 m² de terrain … Je propose de planter là, sans rien demander à personne, c’est vrai quoi, on est au Mans pas au Rotary Club !! Philou va négocier avec les résidents … Et revient en disant qu’ils ne sont pas d’accord parce qu’ils attendent six tentes le lendemain … Là trop c’est trop, une envie sourde et incontrôlable de leur faire goûter mon bloc disque est en train de m’envahir ! Après une séance de «alors, on fait quoi ?», je propose de planter quand même et si problème il y a, ben on trouvera une solution adaptée … L’un des deux albigeois décide alors de tenter une ultime médiation, en faisant appel à leur sens de la solidarité motarde et surtout en omettant que Feuf et Nonce vont arriver, et que demain ce sera Sly qui nous rejoindra … Sans trop y croire, on le regarde partir puis discuter, et quand il revient quelques instants après dans un grand sourire il nous lache «allez, c’est bon !» Nous voilà donc en train de monter les tentes de nuit sous une pluie battante. Philou, doit maintenant aller chercher ses affaires, pendant ce temps j’aide les autres du mieux que je peux à monter leur tente. Philou revient une bonne heure plus tard, entre temps Feuf et Nonce nous ont trouvés et montent leur tente aussi, ce que je vais faire avec Philou … Tiens, il ne pleut plus, tant mieux le manœuvre sera plus facile … Il est 23 heures, toutes les tentes sont montées, nos affaires au sec à l’intérieur, les cuirs tentent de sécher mais c’est pas gagné, les bécanes sont alignées et cadenassées … Elles sont tellement couvertes de boue qu’on dirait qu’on a fait du tt avec ! Bon, on a bien gagné un kébab … nous voilà parti crapahuter à la recherche du kebab perdu en direction du circuit … Des flots de motards arrivent encore et encore, bon courage les gars ! Bon ayé, on a nos kébabs, qu’on va se bouffer tranquillement dans les tribunes en assistant aux derniers essais de nuit … On va déambuler un peu avant de rentrer … Flûte, on a loupé le concert des Washington Dead Cats … M’en fout, j’étais vraiment trop creuvé … Par contre demain, c’est Dolly qui sera sur scène ! Et là, y a pas moyen que je le loupe ce concert !
Retour aux tentes, papotage jusqu’à 2 heures du mat’, et là c’est le gros coup de barre général … au dodo tout le monde ! On pourrait croire que cernés par des furieux qui à grands coups de rupteurs ou de claquement de soupapes nous aurions du mal à nous endormir, et ben que nenni …
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Samedi matin, réveillés vers 8 heures 30, premier constat : il ne pleut pas ! Au contraire, le soleil qui pointe le bout de son nez réchauffe l’air ambiant et laisse présager d’une journée agréable. La troupe sort du coltard tend bien que mal et décide de prendre son p’tit dèj’ devant la rodster cup et la super roadster cup … Dignement installés dans la tribune du virage d’entrée à la ligne droite des stands, la collation de 9 heures fut avalée goulûment … Pendant ce temps, nous regardons les courses très disputées de la rodster cup et la super roadster cup ! Idéalement placés nous avons pu profiter de freinages tardifs, intérieurs, prises d’angle de malade et de la mélodie du twin lors de la remise plein gaz en début de ligne droite ! A 11 heures début du warm-up des 24 heures … On va changer de point de vu, direction de Dunlop … Deux chutes, celle de la kawa numéro 11 qui a pris le pif mais pas le paf, résultat : pas mal de dégâts, c’est ballot 4 heures avant le départ … La seconde, dont je me rappelle plus le numéro, a perdu l’avant en entrant dans le pif, trajectoire pas bonne semble t’il, flan gauche râpé suite à la glissade, il s’en sort bien … Le bigo de Philou sonne, Sly est arrivé ! Après l’avoir accueilli et papoté un peu, tous sauf Feuf et Nonce vont aller faire le plein d’essence après avoir donné deux billets d’entrée à des personnes qui ont perdu leurs papiers et leurs billets, ces personnes étant des connaissances de la personne qui a monté les affaires de Philou (je vous rassure, nous aussi ça nous a paru fumeux …) Nous voilà en route vers un point de rendez-vous à proximité du circuit … Là, personne … Les minutes passent et toujours personne … Un coup de téoulàtufoukoa et nous voilà repartis vers un nouveau point de rendez-vous … Embouteillages, demi-tours, on fait toujours plus de bornes et mon témoin de réserve me rappelle sa présence ! Au bout de trois tentatives, on décide de fixer un ultime rendez-vous à la station service du Géant Casino du bled d’à coté … S’ils ne trouvent toujours pas, on aura tout tenté, tant pis pour eux c’est qu’ils étaient le maillon faible ! Arrêtés à un feu à 50 mètres de notre objectif, je regarde mon compteur journalier : 211 km, j’ai jamais fait autant avec le S4, qui il me semble commence à toussoter de manière suspecte … Je me tourne vers Philou et le met au courant … « Boha ! On est presque arrivés !» me fait-il … Le feu passe au vert, je démarre et là, c’est le drame … Pouf ! Fait le S4 en guise de râle d’agonie ! Mort de rire, je me serre sur le coté, laisse passer les quelques voitures, puis prend de l’élan en poussant mon Ducat aphone et saute dessus pour terminer la route (qui heureusement est en descente) en roue libre … Aidé par les autres qui m’ont poussé, j’ai donc atteint in-extremis la station … Au bout d’un temps certain, les intéressés arrivent et récupèrent leurs billets … Le temps de faire un signe de la main et ils re-disparaissent …
Nos estomacs commencent à gronder, après concertation nous décidons de manger au Flunch du centre commercial qui jouxte les pompes. Après avoir acheté de quoi ripailler le dimanche matin, nous rentrons au circuit pour suivre la course.
Au terme d’une journée passée à marcher autour du circuit, prendre des photos, nous balader dans le village d’attractions, manèges et boutiques en tout genre, nous nous attablâmes à la cafèt du circuit … Et là, débuta une séance de chambrage en règle dont Jackflash fit les frais après avoir déclaré qu’il ne contre-braquait jamais en moto et qu’il ne se servait pas de cette technique pour déclencher ses virages … Une bonne crise de fou rire me saisi à ce moment, qui mit quelques minutes à passer, pour le plus grand amusement de tous ! Après un passage aux tentes pour prendre mon blaze (la nuit ne va pas tarder à tomber) direction le concert …
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La scène est immense, beaucoup plus grande en tout cas que celle de Castres où j’ai vu Dolly avec Franck et Pinkfish …Beaucoup de personnes sont massées devant tandis que d’autres vont suivre le concert depuis l’énorme butte depuis laquelle on peut voir la course de l’autre coté. C’est le choix que va faire la troupe, sauf moi qui suis bien décidé à prendre mon bain de foule ! Je confis donc mon blaze à Nonce et après avoir convenu d’un point de repère pour les retrouver, me jètes dans la mêlée ! Arrivé devant la scène en jouant des coudes, je peux enfin me régaler en admirant le groupe toujours excellent dans son jeux de scène ! En pogotant gentiment au son des mélodies endiablées, je ne tarde pas à me rendre compte que plusieurs agités du bocal se bousculent avec des bouteilles de bière ou de whisky en verre à la main, et que la plupart on gardé les cuirs renforcés, dorsales et autres vêtements qui leur donnent l’impression d’être invulnérables … Quelques abrutis cherchent visiblement à déclencher des bastons en provoquant d’autres abrutis … Après avoir échangé quelques marrons, ça se calme mais la tension reste palpable ! Dommage, mais c’est pas ces couillons qui vont gâcher mon plaisir … Une fois le concert fini, je rejoins le groupe avec une banane du tonnerre. Visiblement, Feuf est étonnée que je sois toujours vivant.
Maintenant, on va voir un bout de la course de nuit, le but du jeux sera de reconnaître les motos au couleurs des panneaux sortis lors de leur passage devant les stands … respect Philou !
A 1 heure 30 je déclare forfait et rentre me coucher, alors que Philou et Jackflash restent pour encourager leurs favoris.
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Dimanche matin, le soleil est toujours de la partie. On englouti les chocos et pain aux raisins achetés la veille puis encore une fois, direction le circuit … Ce coup-ci on crapahute tellement que j’ai l’impression d’avoir les pieds de Babard ! Pas pratique les bottes pour faire de la randonnée ! On est au niveau de la Chapelle quand la course est neutralisée par les deux pace cars pendant quelques tours suite à une chute. Les infos météo que nous obtenons pour lundi bousculent notre planning : nous avions prévu de rentrer lundi matin mais il est prévu de gros orages sur la région à ce moment, alors que pour dimanche aprèm c’est du beau temps annoncé ... A l’unanimité le retour sera dimanche aprèm, les forces de chacun ayant l’air d’avoir été préservées. Après avoir pris la collation de 12 heures, durant laquelle Sly et moi avons fait un concours de la plus grosse bouchée de sandwich, que soit dit en passant j’ai gagné (vidéo à l’appui !), nous nous redirigeons vers les tentes afin de préparer nos paquetages pour le retour. Une fois les motos harnachées, nous nous séparons en deux équipes : ceux qui vont voir les derniers tours et l’arrivée, et ceux qui restent auprès des bécanes et qui dans un grand élan fraternel proposent de toutes leur graisser la chaîne.
Finalement, Jackflash va renter sur Paris … On se quitte après avoir s’être promis la revoyure.
Le moment du retour arrive, on remonte sur les bécanes …Et la avec un pincement au cœur, on réalise que c’est déjà fini …
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Le retour, du Mans à Poitiers par la route nationale s’est déroulé sur une route irréprochable où le rythme a été carrément soutenu. Des décors très verdoyants avec des enchaînement de courbes plutôt rapides, et évidemment des bouts droits où les saploupiaux en sportives profitent pour vous coller des boulevards ! Pff ! Bien sur après pour recoller, il faut cravacher, et là mon Ducat et moi on se régale !
A 21 heures à Limoges on fait une pose Mac-Beurk, manière de pas rouler l’estomac vide ni perdre trop de temps. Avant de partir, la pluie se met à tomber, tant pis : et hop, on s’équipe ! La nuit tombant et la fatigue commençant à en rattraper certains, on décide de faire la suite par autoroute par sécurité. Donc rien de bien intéressant à raconter pour la suite … Faire de bornes de nuit sous des trombes d’eau n’a rien de jouissif, nous avons roulé pépère à cause de la visibilité fortement diminuée et fait quelques pauses essence/kawa sur le trajet. Avant de laisser Philou qui rentre à Montauban, Feuf et Nonce décident de rentrer coolos, tandis que Sly et moi décidons de mettre du gaz jusqu’à Toulouse. Arrivé au péage de Toulouse, je devine la banane sous le casque de Sly, qui me fais «Hé ben, c’était sympas ce tronçon !» Yep, je confirme : très sympas ! On se sépare … Il est 0 heure 30, je suis de retour chez moi, ma chère et tendre me saute au cou en me voyant débarquer ! C’est bon de rentrer chez soi.
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Je tiens à remercier tous les participants à cette virée, que j’ai appris à mieux connaître et apprécier durant le week-end … Tous ces souvenirs ne sont pas prêts d’être oubliés !
Bon, ça y est c’est fini, j’espère ne pas vous avoir trop saoulé … C’était mon premier cr.Glingling is baaaaaaaaack !
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