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Biwolf
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 15:10 Sujet du message: Récit d'une soirée à la FFMC 34
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Citation: | Le mercredi 24 mars, le nouveau Conseil élu par l’assemblée générale s’est réuni pour sa première séance de travail.
Et... ça a dérapé, vers une histoire qui pourra sembler tristement banale mais dont nous nous souviendrons longtemps. Récit.
Réunion locale du Conseil de la FFMC dans la salle du 1er étage de la station-service : Jean-Michel, le gérant est membre dudit conseil.
Il est 22 heures. Comme d’hab’, on papote, on blague, mais l’ordre du jour avance : on en est presque à la moitié.
Stéphane repère un bruit sur le parking de la station-service et nous découvrons qu’un contrôle radar mobile vient d’y être installé. Les pneus placés au sol pour empêcher l’accès à la station, fermée à cette heure avancée, ont été repoussés. 2 voitures se sont implantées sur le parking et un fourgon stationne, à cheval sur la piste cyclable et la bande de stop de la rue adjacente.
Comme l’épisode n’est pas le 1er du genre, Jean-Michel, comme à l’habitude, descend demander aux policiers de sortir de sa propriété pour faire leur contrôle. Deux membres du conseil le suivent et les autres s’installent au balcon de la salle pour suivre les événements.
- Jean-Michel : « Je ne cautionne pas votre contrôle. Merci de ne pas rester sur ma propriété »
- Un policier : « Si t’es pas content, t’as qu’à porter plainte »
- Jean-Michel : « Vous n’êtes pas dans votre droit, retournez sur la voie publique »
- Le policier : « Si t’insistes, on t’embarque pour ivresse sur la voie publique »
Même si Jean-Michel reste calme, le ton monte rapidement. Les policiers sont nerveux, agressifs.
En moins de 5 minutes, l’un des policiers s’adresse déjà à la cantonade pour nous traiter d’ « abrutis ». Il y a peu d’échanges, les motards choisissant de rester calmes, voire silencieux. Du côté des policiers, les invectivent continuent. Visiblement convaincus d’être investis d’une mission pour laquelle tout est permis, ils se font moralisateurs : « C’est à cause de gens comme vous qu’il y aura des morts ».
Emma demande qui aurait un appareil photo pour fixer la scène. Plusieurs photos sont prises. Quelques policiers sortent leurs lampes torches et s’amusent visiblement, en les agitant pour gêner les prises de vue.
Pendant, ce temps, Pierro est parti à pied, le long de la route. Pierre et Victor le suivent, peu de temps après. Ils se placent au feu tricolore et font signent aux conducteurs de rouler doucement.
Les véhicules sont finalement déplacés et légèrement éloignés de l’entrée de la station-service.
L’un des policiers, aux jumelles, signale à ses collègues la position des 3 piétons.
Au bout d’un moment, le groupe de policier lève le camp. On entend : « Choppez-les ! On les embarque ».
Arrestation
Il est 22h35. 2 véhicules foncent vers Pierro, Victor et Pierre. Ils encadrent les 3. Les policiers en sortent, tonfa à la main :
« Tournez-vous, face au mur, levez les mains. »
Palpation et menottes.
« On vous embarque, vous passerez devant le juge pour outrage à agent. Vous aurez un casier et vous ne pourrez plus postuler pour certains emplois ».
Dans le véhicule, qui a pris la direction de l’hôtel de police, les 3 répondent aux questions sur leur identité et sur leur consommation d’alcool : Pierre n’a rien bu, Pierro et Victor ont bu 1 bière environ 1 heure avant.
Une discussion s’engage alors entre les policiers, les échanges tournent autour de « l’alcool » et « l’ivresse ».
Le véhicule fait demi-tour et prend la direction de l’hôpital. C’est Starsky et Hutch ! Sûrement pour répondre à une urgence vitale, le fourgon et son escorte traversent la ville à fond de train, gyrophare allumé, grillant tous les feux et priorités. A l’intérieur, les 3, toujours menottés et sans ceintures de sécurité, comprennent enfin l’origine du mot « panier à salade ».
Pendant le trajet, plusieurs policiers se sentent obligés de leur faire la morale : « Vous nous empêchez de faire notre travail, nous œuvrons pour la sécurité. Peut-être qu’à cause de vous il y a un accident en ce moment ».
Hôpital
Sur place, aux urgences, 5 ou 6 personnes attendent d’être soignées, certaines dans des fauteuils roulants ou sur des brancards. Les policiers sont visiblement connus du médecin qui les prend en charge : « T’as rien d’autre à m’amener que des gens qui n’ont visiblement rien bu ? ». Pierro demande au médecin de lui expliquer à quoi sert la prise de sang qu’il vient de lui faire (piqure au bout du doigt). « On va mesurer le taux de sucre dans votre sang et s’assurer de votre état général pour la garde à vue ». Il lui prend sa tension.
Pendant que se déroulent les prises de sang, les deux policiers les plus agressifs et énervés (visiblement les plus gradés) interpellent constamment les 3 et cherchent à engager la conversation. Ils crient, les tutoient, ne les insultent pas. Les autres policiers restent en spectateurs.
La leçon de morale continue : « C’est grâce à nos radars qu’on sauve des vies ». « Vous ne vous rendez pas compte, avec ce que vous avez fait, il aurait pu y avoir un mort. J’aimerais bien voir votre tête quand vous serez face à la veuve ».
Les 3 restent le plus souvent silencieux, mais parfois la tentation est trop forte…
- « Depuis que vous avez commencé à faire signe aux voitures de ralentir, on n’a plus mis un PV ».
- « Ah, parce que ce qui vous intéresse, c’est uniquement de mettre des PV ? »
- « Pas du tout »
Un policier interpelle Pierre :
- « De toute façon, on se reverra. Il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas (sic). Quand on se reverra, t’as intérêt à avoir un carnet de chèque bien rempli ».
- « Vous me menacez ? Devant des témoins ?
- « Non, ce ne sont pas des menaces »
- « Si. Ce sont des menaces ».
- Silence…
Hôtel de police
A l’arrivée à l’hôtel de police, retrait des menottes. Les policiers qui se sont chargés de l’arrestation s’en vont. Les 3 ont encore leurs téléphones mobiles sur eux. Pierre appelle la FFMC :
- « Eh ! Vous vous croyez où ? Raccrochez ! »
- « Je peux quand même donner des nouvelles. Ils risquent de s’inquiéter »
- « Non, pas besoin. Ici, vous ne risquez rien ».
Les portables sont confisqués.
Pierre, Victor et Pierro doivent se déshabiller pour une fouille au corps : chacun passe, à son tour, dans un bureau auprès d’un gardien qui assure la fouille.
En slip, Victor ne bouge pas :
- « Je crois qu’on n’ira pas plus loin ? »
- Le gardien, gentiment : « Si. Je vous explique : vous vous mettez face au mur et vous baissez votre slip jusqu’aux genoux ».
Victor s’exécute.
- « C’est bon. Vous pouvez vous rhabiller ».
On leur retire leurs ceintures, clés, etc.
Le gardien parle à Victor « d’ivresse publique manifeste ». Surpris, Victor demande son taux d’alcoolémie. Gentiment, le gardien répond « On ne va pas vous faire souffler dans le ballon pour ça ». Sur la porte de la cellule, il inscrit l’identité de Victor et « IPM ».
Avant d’entrer, Victor demande :
- « Dites, est-ce que je peux avoir un verre d’eau ? »
- « Vous avez vraiment soif, vous ! »
- « Ben, oui. Mais, bon, si c’est pas possible, tant pis ».
Le gardien l’accompagne jusqu’au lavabo, puis le place en cellule.
Les lieux sont corrects, visiblement récents, les banquettes propres. Pierro pense avoir eu la « cellule VIP » !
On les place en cellule. Ils doivent laisser leurs chaussures devant la porte avant d’entrer.
Pierro est seul, il arrive à s’endormir, niché dans sa doudoune. Pierre est placé avec 1 autre personne. Victor, d’abord seul, dans un espace sans matelas ni couverture, est ensuite déplacé dans une autre cellule, déjà occupée par 4 hommes.
Pendant le transfert, il passe devant une cellule où un homme tape violemment sur la porte, depuis déjà un certain temps :
- « J’ai soif ! »
Le gardien ouvre la cellule : « Qu‘est-ce que tu veux ? »
- Silence…
Le gardien referme la porte et s’éloigne.
- « Gardien ! Je veux un verre d’eau. »
- « Ta g*** ! Tu pêtes les c*** ! Tu l’as pas ton verre d’eau. »
Au bout d’un certain temps, les gardiens font sortir les 3 de cellule. Ils peuvent remettre leurs chaussures.
L’un des gardiens demande gentiment :
- « Alors, vous allez mieux ? »
- Pierro : « Je n’étais pas bourré : je n’avais bu qu’une bière. On est ici parce qu’on a eu un accrochage avec vos collègues »
Visiblement, le gardien ne connaissait pas le motif réel de la garde-à-vue…
Chacun récupère ses effets personnels.
On leur présente un procès-verbal d’ivresse manifeste sur la voie publique, pré-rempli d’une page de texte dactylographié, devenu gris après avoir été visiblement photocopié souvent. Le policier y ajoute manuellement les déclarations de chacun, en les lisant à haute voix :
- Pierre : « Je reconnais ne pas avoir bu »
- Le policier : « Je ne me souviens pas de ce que j’ai bu »
- Pierre : « Non, je n’avais rien bu ! ».
Le policier en prend note.
Victor et Pierro reconnaissent avoir bu 1 bière.
- Le policier : « Quelle marque ? »
- Pierro : « Une Kronenbourg »
- Le policier : « Signez ! »
Le policier tend 1 document à Pierro. Celui-ci n’est visiblement pas assez rapide puisque, à plusieurs reprises, le policier le presse de signer « et vite ! ».
Chacun des 2 policiers présents tend 1 exemplaire à Victor. Comme il ne peux pas signer les 2 en même temps, les 2 policiers s’agitent et insistent vigoureusement pour qu’il « signe vite ! ».
C’est au tour de Pierre qui, sérieux, tient à lire attentivement ce qu’il doit signer :
- « Signe ! »
- …
- « Signe. Si tu veux partir, tu signes. »
- …
- « Bon, tu signes ! Tant que tu lis, tu sors pas ».
Il est 3 heures du matin, chacun signe son PV. C’est leur 1ère garde-à-vue, ils n’ont pas vraiment prêté attention au texte pré-rempli.
Pendant la garde à vue, à aucun moment les 3 n’ont été informés de leurs droits (famille, médecin, avocat), ni interrogés. A plusieurs reprises, ils ont demandé quelle heure il était et n’ont jamais pu avoir de réponse.
Victor a demandé à connaître les résultats de sa prise de sang : il n’a pas obtenu de réponse…
Les 3 sont raccompagnés à la sortie de l’hôtel de police. |
Site de la FFMC 34
Je cherche pas à Paul & Mickey mais bon...Ca démange un peu...
J'ai envoyé le lien auprès de Moto Journal, Moto Mag et Auto Plus pour avoir leur réaction.
A présent, seul Moto Mag m'a répondu en disant qu'ils étaient au courant et allaient se réunir pour prendre des décisions
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JMP
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 15:37 Sujet du message:
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Gériatrik Member
Inscrit le: 02 Déc 2009
Messages: 1742
Ville: Saverdun, 09
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Citation: | Il est 3 heures du matin, chacun signe son PV. C’est leur 1ère garde-à-vue, ils n’ont pas vraiment prêté attention au texte pré-rempli. |
Pas trop de doute sur le contenu ... A charge bien sur.
Sont bon pour déjà se prendre un bon avocat ...
C'était où ? L'hotel de police d'où ? Histoire d'éviter le coin ...
Edifiant.
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Dadou
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 15:58 Sujet du message:
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Inscrit le: 28 Aoû 2009
Messages: 1010
Ville: Muret
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Incroyable
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-S-
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 16:06 Sujet du message:
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Ca me fait penser aux tontons macoutes et la joyeuse démocratie mise en place par Papa Doc.
Je pensais qu'on vivait en France, un pays dans lequel on était sensé avoir certains droits et ne pas avoir en face de nous un Etat policier tout puissant. J'ai dû me tromper. Ou alors, je vis encore dans Bisounours Land
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Dadou
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 16:08 Sujet du message:
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Inscrit le: 28 Aoû 2009
Messages: 1010
Ville: Muret
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J'ai trouvé ce texte :
L’installation des radars « jumelles » sur un site privé est possible si le
propriétaire des lieux donne son autorisation.
Question publiée au JO le : 14/03/2006
M. Damien Meslot (Député U.M.P. du Territoire de Belfort) attire l'attention de M. le ministre d'État,
ministre de l'intérieur et de l'aménagement du territoire, sur le déroulement des contrôles de vitesse
inopinés effectués par les forces de police et de gendarmerie. En effet, des contrôles de vitesse inopinés
sont effectués à l'aide d'un radar laser par des agents qui sont camouflés dans des haies plantées sur des
propriétés privées. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui faire part de son sentiment sur le déroulement,
dans ces conditions, des contrôles de vitesse et de lui indiquer dans quelles mesures les agents des
forces de police et de gendarmerie peuvent se poster sur le territoire d'une propriété privée pour les
effectuer.
Réponse publiée au JO le : 30/05/2006
La lutte contre l'insécurité routière est une priorité gouvernementale et ministérielle. En cinq ans, le
nombre des accidents sur les routes est passé de 119 604 à 82 736, soit une diminution de 30,82 %.
Parallèlement, le nombre de tués a régressé de 40,70 % et celui des blessés de 33,29 %. L'action
préventive occupe une large part dans la lutte contre l'insécurité routière et de nombreuses campagnes
d'informations sont régulièrement menées et relayées par les médias. Les actions répressives des forces
de l'ordre contribuent également à la diminution de ces accidents sur les routes et, notamment, le contrôle
de vitesse avec ou sans interception. En 2005, 449 515 contrôles de ce type ont été effectués par les
forces de la police et de la gendarmerie nationales. Le positionnement des radars, ainsi que l'a rappelé le
ministre d'État, ministre de l'intérieur et de l'aménagement du territoire, est choisi avec discernement dans
le seul souci d'assurer la sécurité des automobilistes. Les forces de l'ordre ont reçu toutes instructions
pour exercer les contrôles de vitesse dans les lieux accidentogènes. Le relevé d'infraction inopiné par
radar laser est autorisé par les articles 529-1et 529-8 du code de procédure pénale. Il doit être effectué
sur la voie publique, dans les conditions légales et en dehors de toute propriété privée. Pour autant, dès
lors que son propriétaire en a donné l'autorisation, il est possible de se positionner sur un site
privé. Le contrevenant peut contester l'infraction auprès du ministère public territorialement compétent,
seul habilité à statuer sur l'opportunité des poursuites. En cas de rejet de sa requête en exonération,
l'intéressé peut demander à être cité à comparaître devant la juridiction de proximité pour y exposer ses
arguments de défense.
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Pilou
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 16:19 Sujet du message:
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Inscrit le: 26 Sep 2006
Messages: 2298
Ville: CUGNAUX
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Choqué mais (malheureusement) pas surpris !
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obi
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 16:20 Sujet du message:
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Là où il faut prendre des pincettes, c'est avec l'identité des forces de l'ordre. Parce qu'un texte comme ça lancé à la volée, c'est un peu comme quand le motard se fait catégoriser de danger public parce qu'un abruti a donné un sale exemple.
Cela dit, ça mériterait bien d'être porté devant la police des polices.
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Rom31
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 16:21 Sujet du message:
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Ca laisse "rêveur" ...
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La DuF
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 18:14 Sujet du message:
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Y'en a qui veulent des coups de boule ?
Admin du site  Inscrit le: 10 Fév 2004
Messages: 3286
Ville: TOULOUSE
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Bonjour, les gens.
Je me permets une petite intervention de modérateur.
Il y a très probablement dans la Police Nationale en général et à Montpellier en particulier la même proportion de crétins et de rouleurs de mécaniques à 2 balles que dans le reste de la population française.
Les spécimens décrits par nos potes de la FFMC34 en attestent.
Ces fonctionnaires de police sont des taches et rien n'excuse leur attitude.
Mais ne généralisez pas.
Il y a aussi très probablement dans la Police Nationale en général et à Montpellier en particulier la même proportion de mecs bien, honnêtes et respectueux de la loi qu'ils doivent faire respecter que dans le reste de la population française.
Un exemple ? Ne mettez pas dans le même panier que les crétins décrits ci-dessus nos potes motards de la PN de Toulouse qui ont assuré avec professionnalisme et engagement la sécurité lors de la récente manif de la FFMC31 et lors de la manifestation à l'occasion de la mort de Fred, en portant aux aussi le brassard blanc.
Il y a des flics bien.
Si, si...
F.N'attends pas avant de dire à tes potes que tu les aimes. Un jour, il sera trop tard...
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GAZZMAN
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 18:14 Sujet du message:
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plouf ...
Inscrit le: 18 Jan 2005
Messages: 8859
Ville: Aigrefeuille
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Ca fait peur...
Ca me rapelle une phrase de coluche: "N'ayez pas peur madame, on est pas de la police...."
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Autan
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 18:29 Sujet du message:
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...mmmh idem que Pilou.
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brenus
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 19:32 Sujet du message:
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Inscrit le: 23 Mar 2010
Messages: 379
Ville: leguevin
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une autre de coluche " ont est gardien de la paix...alors rendez la nous "
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La DuF
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 20:05 Sujet du message:
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Y'en a qui veulent des coups de boule ?
Admin du site  Inscrit le: 10 Fév 2004
Messages: 3286
Ville: TOULOUSE
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brenus a écrit: | une autre de coluche " ont est gardien de la paix...alors rendez la nous "  |
Rhôôôô lui, hééé...
Citation: | Ouais, ben les gardiens de la paix, au lieu de nous la garder, y feraient mieux de nous la foutre. |
Si tu veux le citer, cite-le correctement...  N'attends pas avant de dire à tes potes que tu les aimes. Un jour, il sera trop tard...
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Erestor
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 20:20 Sujet du message:
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moitiè Vampire / moitiè Ghotik rider
Inscrit le: 05 Oct 2004
Messages: 2695
Ville: quand y'en aura une qu'avec des motos
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et pendant ce temps là :
- une petite vieille se fait agresser
- des motos se font voler
- une bijouterie est braquée
etc etc etc
mais y'en à qui font du fric sécurisé et joue à Starsky et Hutch
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Zav31
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Posté le: Lun 29 Mar 2010 20:33 Sujet du message:
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Pas étonné meme plus surpris et meme pas choqué....
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