Retour de la Newbie de Djinks/Yoyo 19/11/06

de + en + énorme ces sorties !!! j'ai adoré :
-le grand timide en R1 a la station service au départ qui voulais se joindre a nous mais... qui n'osait pas le demander ! (la faute a PasLeMatin, il a aboiyé kan il s'est approché !!! )

-les gars aux symptômes presbytomyopie aigu en visière irridium kan il fai nuit a 5 heure et qu'il pleut (kawanight : "elle est ou la sortie?")

-la palette de viennoiseries de blakesnake (tu roule en custom, mai je t'aime déja !)

-la grande secte des illuminés du tiercé quinté (on a trouvé leur Q.G, le PMU de Moissac !!!!!)

-des filles qui ne se prennent pas pour des sucrettes (quel courage ! c'est l'effet "blondes power")

-le retour en mode "nimportenawac" sur la N20 ( "Mai ki ma doublé si je tai doublé avant qu'il me double ??!?!?)

-les cafés de paslematin

-et l'organisation et l'investissement de Djinks et Yoyo pour cette journée au poil et la sympathie et la bonne humeur de tous !!!
LONGUE VIE AUX M.T !!

p.s: Attend un peu de me voir au restaurant marmotte !
p.p.s: La prochaine fois, je prends mon tahiti douche et je roule tout nu

HELP ME !! je ne peux pas mettre mes "tofs" en lignes

Rajoute les à un sous album

mt newbie Djink du 19/11/06

Ben alors la bravo les organos,
je la rebaptiserai test tenue pluie LOL....
Pas newbie du tout selon moi, au prog j'ai eu
* tout de mouillé/humide quasi..mais bon tt le moode y été
* un bon roulage de nuit de retour (donc un trés beau aqua-plannig sur la RN20)
* un retour visiére ouverte pour y voir mieux la nuit ( meci au 2 autres derriére moi pour le suivi )
* une bonne ambiance du départ etc...
* les toilette du bar à l'arrach.... 2 choco cho et vienoiseries
et plein de nouvelle tetes vues

perso je me calmerai pour les prochaines ballades ( pas avant mars/avril maintenant)

[quote="YODA"]-des filles qui ne se prennent pas pour des sucrettes (quel courage ! c'est l'effet "blondes power")

on est pas des

vive les

Oui. Merci de faire un peu de ménage SVP.

Désolée d'avoir râté cela et surtout toutes mes excuses pour ne pas avoir prévenu mais internet HS à la maison.

Que dire de plus....un départ au sec pendant 2minutes et puis la pluie...moi qui étais optimiste....Merci à l'encadrement, à yoyo pour l'ouverture...Même si au retour je roulais en aveugle

j'étais heureux de roulais avec de nouveaux MT et des anciens...Et en rentrant je me suis dis que j'acheterai bien des poignées chauffantes (que la force soit avec toi)

Merci aussi pour les chocos et le café bien réconfortant le soir.... A bientôt et sous le soleil cette fois.

Vive la Bretagne libre

UNE BALADE NEWBIE..........CELTE ??????

Dans des temps futurs, où tout le monde se déplace par télétransporteur ou sur des véhicules ne touchant plus terre car à plusieurs centaines de mètres du sol ou sur des coussins d’air effaçant toutes sensations. Une poignée d’humains reste fidèle à une des méthodes de transport de leurs ancêtres, sur des véhicules avec seulement 2 roues qui viennent se poser sur des routes immémoriales. Ces engins affublés du nom étrange de motocyclettes, mais les noms pour les désigner étaient très nombreux en fait. C’était, soit une contraction : moto, soit des mots évoquant pour ceux qui pouvaient les traduire pleins de souvenirs, de frissons et d’étranges sentiments. Citons : brèle, brèlous, trapanelles, bécanes, engins, destrier sans que cela soit exhaustif. Tous ces moyens de locomotion se ressemblaient par certains aspects (nombre de roues, présence d’une tige plus ou moins droite appelée guidon, d’un endroit pour poser son séant. Mais ils étaient aussi différents par les noms sur leur flanc rappelant d’anciennes divinités orientales (Honda, Suzuki, Kawasaki, Yamaha) ou occidentales (Ducati, Aprilia, BMW, Triumph) à une époque où les différences entre l’Ouest, l’Est, le Nord et le Sud étaient encore primordiales. De même, les géométries, les longueurs, largeurs, poids, et aspect général n’étaient point semblable, ce pour satisfaire les différentes méthodes d’utilisation ainsi que les préférences des ces hommes.

Les conducteurs de ces engins s’appelaient par des noms très « bizarres » qui leur permettait de se reconnaître entre eux. Parfois, ces noms pouvaient paraître logique pour les initiés, mais ce n’était pas toujours le cas. Nous verrons quelques uns de ces noms durant ce court récit.

Pour ce jour là, Djinks, descendant direct des génies de l’empire Perse qui habitaient dans des lampes magiques, avait proposé à certains de ces non-conformistes de partir sur les routes pour permettre aux nouveaux adeptes de se perfectionner aux méthodes de roulage en groupe (exercice parfois compliqué). Afin de pallier à certain manque d’expérience de Djinks, un descendant celte, un nommé Yoyo (pour sa capacité à créer des écarts phénoménaux avec ceux qu’il suivait dans des délais extrêmement courts) décida de l’aider dans la mission qu’il s’était fixée. Yoyo prépara un « road » (mot devenu mystique avec le temps) qu’il testa pour une partie avec Niakniak (nom mystérieux dont aucun ne connaissait l’origine et que son possesseur gardait farouchement secrète).

Le jour du rassemblement arriva, et nombreux sont ceux qui répondirent à l’appel. Il y avait 26 « vaisseaux » de la route dont certains portaient 2 « révolutionnaires ». Il y avait des vieux initiés :

- Gazzman, il fournissait le trop rare produit permettant aux véhicules de se déplacer, son véhicules pouvait paraître monstrueux mais était en fait d’une efficacité rare quand il était emmené par ce géant débonnaire. Il n’avait aucune spécialité car il était excellent partout, mais beaucoup soupçonnait un goût immodéré pour faire de la place, bloqué les routes afin que l’ensemble de la troupe puisse passer sans être dispersée.

- Zizimolo, impressionnant par la carrure, mais d’une rare gentillesse derrière ses yeux sombres. Il était le spécialiste de la fermeture, art difficile et faisant porter une responsabilité lourde à son titulaire, ne perdre personne. Etre le dernier, c’est savoir rouler lentement ou très vite pour rattraper tout le monde. Il chevauchait un engin trop rare, le troapatte…..

- NiakNiak, chevauchait lui la Ducati, engin caractériel parfois, mais donnait un tel plaisir à ceux qui pouvait le maîtriser que la légende racontait qu’une fois essayé, on ne pouvait s’en passer…La légende !!!!!!!!

- Carsan, posait son séant sur une machine qui avait un aspect râblé, musclé, court. Mais d’une vitalité fort étonnante surtout mené par cet homme qui avait la réputation de déconnecté ses neurones….mais en fait c’était faux, il aimait lancer sa moto rapidement, la balancer d’un virage à l’autre comme si ces derniers n’existait pas, l’apparence de facilité montre la qualité du pilotage de cet énergumène.

- Joker, lui, avait un problème de moteur l’empêchant de récupérer sa motocyclette. Son dealer, de peur d’atroces souffrances, lui avait prêté un engin ne satisfaisant pas entièrement son pilote. Mais faute de mieux, Joker s’en contentait. Cet homme portait derrière lui sa passagère appelée La Marmotte de part sa capacité à s’endormir n’importe où et spécialement sur la monture dans les virages.

- Shoei31, cache son jeu sous une apparence et un comportement très calme. En fait, il était capable de tout faire : fermer le groupe (surtout si Yoyo était devant lui), indiquer le chemin, déconnecter son cerveau pour suivre Gazzman. C’était surtout un ami fidèle sur qui tout le monde pouvait compter du fait de son expérience incommensurable.

Voilà pour une partie des protagonistes, que nous appellerons donc les anciens, ou les initiés de plus longue date.

A eux sont venus se joindre, des conducteurs plus jeunes, ou plus récemment infectés par le virus « moto » et désireux d’en savoir plus, d’apprendre comment se sortir du conformisme ambiant de cette époque troublée. Pour n’en citer que quelques uns :

- PasLeMatin, homme apparemment taciturne mais cachant une générosité impressionnante. Il avait marqué les esprits par une présentation peu banale.

- Krys, la seule conductrice de ce groupe accompagnée par l’autre fille de ses parents (sa sœur quoi !). Sa réputation de se dissoudre dans l’eau était fausse en fait, mais cela nous le verrons plus tard. Elle conduisait un engin superbe mais réservé aux plus jeunes de part la place à bord.

- Lilian31, le plus récemment infecté venait en ce jour pour apprendre à rouler en groupe et y prendre un plaisir important.

- Kotaro, que beaucoup appelait l’homme au VEUTEUREU, pourquoi ???? Peu le savait. Ce grand gaillard, fidèle en amitié était d’une gentillesse rarement égalé. Il conduisait d’une manière calme et posée son bicylindre rare.

D’autres étaient là, leur importance et leurs qualités équivalentes mais il serait trop long de les citer.

Après, les consignes d’avant départ faites par les anciens sur les traditions de roulage en groupe et les risques possibles de la route que les autres habitants de la planète ne connaissaient que par les récits et les livres anciens, le petite troupe commençât à faire tourner ses roues. Les prévisions météorologiques étaient peu engageantes. Quelques amis les avaient prévenus des précipitations et des revêtements qu’ils allaient rencontrer.

En effet, ils roulaient à une allure très calme depuis environ 15 minutes, que le vent se leva pour apporter des excroissances de ce qu’on appelle encore des arbres (des feuilles quoi !!!) sur la route. Avec ce déplacement d’air, les doubles atomes d’hydrogène mélangés à l’atome d’oxygène (de l’eau en fait) commencèrent à tomber de manière éparse.

Qu’importe, la troupe n’en avait cure, ils continuèrent à se déplacer vers la destination voulue. La pluie s’intensifia de façon importante, ce qui eu comme conséquence une extension très nette, en distance, entre le premier et le dernier. L’ouvreur, très bien conseillé par Gazzman qui évoluait sur toute la longueur du serpent humain, diminua la cadence pour regrouper tout le monde.

58 kilomètres plus loin, l’ensemble des révolutionnaires stoppa, pour effectuer une pause. Ils essuyèrent une plaque où figurait le nom d’une ancienne ville qu’ils croyaient disparue. Beaumont de Lomagne. Certains allumèrent des bâtons blancs qu’ils portèrent à leurs lèvres pour en exhaler une fumée acre. La pluie redoublait et la route était réellement détrempée.

Gazzman, Zizimolo, NiakNiak et Yoyo discutèrent, deux à deux ou tous les 4, et d’un commun accord avec eux-mêmes décidèrent qu’il était peu sage d’emmener tout le monde sur les routes prévues initialement du fait de leur étroitesse, et d’autres aspects plus pastoraux. Aussi, il fut décider de raccourcir le trajet. Bien leur en pris.

Tout le monde repartit à une allure que nous qualifierons de lente, mais conforme aux tracas météorologiques du moment. Le but était de reprendre une partie du « road » jusqu’à St Nicolas et de rejoindre un ancien carrefour commercial appelé Moissac.

Sur la route, ils croisèrent l’un des leurs, Blake Snake qui était chargé de ravitailler le groupe en vol, tâche dont il s’était acquitté de manière prestigieuse.

Ils rejoignirent Moissac, où ils s’arrêtèrent en un lieu qu’ils pensaient tous disparus depuis longtemps. Certains ne pensaient même pas que cela existait. Ca s’appelait un BAR PET AIME HU ou peut être P.M.U. Là une population étrange regardait des appareils appelés télévisions ou écrans. Là se déroulait d’étranges manèges avec des animaux à quatre pattes sur lequel des hommes était montés, un peu comme nos amis sur leurs motos, qui se courraient après, sans se manger. Des chiffres défilaient, se mêlaient, et apparemment donnaient soit du plaisir, soit de la tristesse à ces gens qui s’appelaient « Turfistes », comme nos amis le surent plus tard. Dans cette taverne, ils réussirent, non sans mal, à obtenir quelques boissons chaudes, ou froides avec des bulles pour certains (binouze ça s’appelle je crois). Ils profitèrent de ce moment pour avaler le ravitaillement que Blake Snake avait fournit.

Pour la route du retour, un projet fut évoqué de repartir par une route avec une réputation de ligne droite, relativement encombre puis de rejoindre leur point de départ via la HAINE20, qui elle aussi devrait être difficile du fait des nombreux animaux à 4 roues ou plus rentrant dans leurs tanières. Au dernier moment, après vérification de l’état de fatigue de certains, la décision fut d’éviter au maximum les grands axes. Ils partirent sous des larmes du ciel de plus en plus abondantes vers le chemin de La Française, qui leur permettrait de rejoindre l’ancienne et redoutée Montauban. Toutefois, certains étaient fatigués, avaient froid ou avaient quelques problèmes avec leurs montures, ceux là décidèrent d’aller au plus court, ce qui pour des questions de sécurité semblait être un très bon choix. Ils se séparèrent du groupe en promettant d’avertir les autres de leur bon retour.

La troupe repartit avec Djinks dans le rôle d’ouvreur, ce qui restait tout à fait logique du fait que cette promenade était son initiative.

La traversée de Montauban était périlleuse car de nombreuses intersections était présentes et retardait voir découpait le serpent à roues en plusieurs parties. Un regroupement s’effectua à la sortie de cette ancienne bourgade afin que les Cadurciens quitte le groupe et rentre dans leur village. Une nouvelle décision allait voir le jour compte tenu de l’évidence des difficultés qui allaient apparaître une fois la HAINE20 rejointe. Donc, il convenait de rejoindre cette route et ensuite chacun prendrait ses responsabilités pour aller jusqu’au point de départ initial afin qu’ils puissent se dire un dernier au revoir.

La troupe repartit, le ciel se déchaînait de plus en plus. Certains étaient partis devant et un groupe stoppa avant une route en cercle (certainement pour la gloire de dieux anciens) sur laquelle plusieurs possibilités de chemin étaient offertes (je crois que ça se dénommait rond point). Heureusement l’un d’entre eux savait quel chemin il fallait emprunter. Il passa devant et c’était repartit. Ils essayèrent de rester les uns relativement proches des autres afin d’éviter ce qu’ils appelaient communément « perdage ». La route était difficile, beaucoup d’animaux à 4 roues, dont le processus de mutation avait engendré des transformations bizarres. Ils avaient tous des yeux projetant des lumières qui aveuglaient les motards du fait de l’action prismatique de l’eau sur les visières des casques qu’ils portaient pour se protéger.

Finalement une partie de nos mais se retrouva au point de départ, d’autres avait préféré rentrer dans leur domaine car ils avaient plus de temps de roulage que d’autres. Chose tout a fait logique tout bien réfléchit. D’autres encore se sentait tellement frigorifiés que l’appel d’un bain chaud fut plus fort, tout aussi compréhensible.

Ceux qui étaient là, décidèrent de se réchauffer autour d’une boisson chaude (thé ou café) pour parler de leur expérience du jour. Se rappeler des bons ou mauvais moments, et en rire ensemble. Un des maîtres de leur congrégation les rejoignit, un dénommé Philou, expert en déhanchement et en fort roulage avec une prédilection pour les grandes courbes rapides.

Finalement, d’un commun accord, ils exprimèrent la chose suivante. Certes cette balade était prévue pour un road différent et permettrait d’apprendre à rouler en groupe et de se perfectionner. Elle a tenue une partie de ces objectifs (seul le road n’a pas été respecté), mais en plus elle leur avait appris à rouler, en groupe, de nuit et sous la pluie ce qui reste aussi une formation nécessaire à un bon apprentissage de la route. L’improvisation sur le road initial était lui aussi un mal nécessaire, et en moto, cette faculté n’était elle pas une qualité.

Comme l’avait dit Krys à Yoyo lors d’un arrêt : « En fait tu l’as fait exprès, c’est une entraînement à un roulage en Bretagne », pays celte de ses ancêtres réputés pour l’humidité de son climat et de ses routes. Un léger sourire intérieur……et oui, en fait le celte du groupe avait peut être voulu montrer que l’on pouvait prendre du plaisir à rouler ensemble même sous un temps très pluvieux.

Merci à tous pour cette balade, je n’ai pas cité tout le monde dans ce récit, peut être par manque d’inspiration. Quoiqu’il en soit, tous les participants étaient présents dans mon esprit. Promis la prochaine fois, on fera une balade sur le sec…….du moins on essaiera. Ma satisfaction restera qu’il n’y a pas eu perdage, ni tombage, on peut rajouter la bonne humeur de tout le monde, le chambrage et notre mauvaise foi habituelle sans laquelle nous ne serions pas ce que nous sommes….des motards….et Toulousains de surcroît.

Merci à toi d'avoir pris ce temps d'écriture pour relater de tes belles paroles de si bons moments.

Cela fait plaisir de retrouver un certain climat dans des CR !

On the road for ever... www.magicargol.fr

Bravo mister YOYO pour ce racontage

Que d'aventures.

Vivement la prochaine sortie tiens.

Doktor Zizi
Déconologue, Calinothérapeute, Affectioniste, Gérontologue.
Avant de chercher dans la complexité, cherchons dans la simplicité...

pipelette dit:
n'ayant que 32% de sang celte , je m' incline d'avant la narration de ce seigneur ( lui 100%)

seul regret de n ' etre pas avec vous hier

mon 50%celte devait poser pour promo cabines de douche

yoyo et

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